Le matin trouva Lauriana recroquevillée autour des braises presque éteintes, encore enveloppée dans la thermométrie ténue d’un pétard mourant. Elle se redressa doucement, chassant de ses paupières la ennui nocturne et caressa d’un acte protecteur la couverture du offre familial qu’elle avait glissé par-dessous sa figures pour l'obscurité. Le ciel, déjà teinté d’un bleu important, annonçait une journée lumineuse, par exemple si la tempérance, audacieuse à bien se manifester tolérante, lui offrait un sursis avant les futures tests. En respirant l’air présent, elle se rappela combien la lauriana voyance imprégnait désormais chaque fibre de son esprit, tissant une passerelle entre ses encaissement et les murmures symboliques du sphère alentour. Son cœur se gonfla d’une confiance secrète, nourrie par l’assurance que ce pouvoir, hérité de ses aïeules, lui permettait d’avancer technique poétique ses intentions nonobstant les craintes. 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